Plus j'avance vers ma cible, plus j'affine mon objectif !
Auteur : Mélina Darcam
Journaliste scientifique de formation (Bac+5), j'ai peu à peu évolué vers le digital et, je me suis formée aux techniques de référencement naturel en freelance. Je poursuis aujourd'hui ma progression dans le marketing digital en me formant au métier de chef de projet Web. Dans le cadre de cette formation, je recherche une structure pour signer un contrat d'apprentissage.
Sweats à personnaliser avec une galerie de dessins au choix
Une galerie de monstres façon Street Art
30 designs uniques et originaux
Ces personnages street art sont réalisés à partir de deux ou trois couleurs maximum par dessin. Il en ressort une couleur dominante et une , qui rend l’harmonisation des couleurs avec un vêtement streetwear, très facile. Chaque personnage façon KeithHaring est unique et original. Sur les 30 modèles de design, aucun n’est semblable à un autre.
La variation des formes et l’harmonie des couleurs donne au client une large gamme de choix pour personnaliser son sweatshirt. Chaque dessin est signé par l’artiste qui a créé cette galerie Street Art : EmmaCardinal. Elle a 2000 abonnés sur Instagram où elle poste ses dessins depuis 7 ans.
Un cadre de format unique
Les cadres des dessins originaux sont de 15 cm sur 11 cm. L’invariabilité de cette constante était propice à l’utilisation de ces graphismes pour de la personnalisationde vêtements. Les dessins proposés sur les photos de présentation seront refaits pour servir de matrice à chaque même commande.
Dans ce cadre à la taille invariable, l’artiste a joué avec les lignes, les courbes, les symétries, les dissymétries et le choix des couleurs pour rendre infinies les possibilités. Cette première série a été inspirée des travaux de Keith Haring, street artiste célèbre des années 80.
Des prototypes avant flocage
Photos réalisées sur Tunetoo.com
Les sites de personnalisation de vêtements en ligne ne manquent pas. Pour réaliser des prototypes visuels, nous nous sommes servis du site Tunetoo.com. Cela nous permet d’avoir un aperçu du produit final et aussi du prix proposé par ce site. Pour être tout à fait transparents à ce stade du projet, le site Tunetoo propose ce sweat avec le dessin en impression digitale à près de 40€.
Design idéal pour personnaliser un sweat sportwear
Les couleurs funs des dessins se marient bien avec toutes les couleurs de la gamme chromatique. Chaque couleur ayant sa complémentaire, il y a une possibilité infinie de décliner forme du sweat, couleur du sweat et choix du dessin.
Le projet ne fait que démarrer. Nous testons pour le moment les réactions des auditeurs au produit. Seriez-vous prêt à mettre 70€ dans un sweat streetwear avec un dessin original imprimé au dos ?
RDV sur la boutique pour commander votre sweat personnalisé ou votre sac en jean fait main !
Roblox est avant tout une plateforme de jeux en ligne qui se veut, et qui est, ludique. Les enfants jouent aux grandes personnes en s’inventant une identité et une apparence. Le modèle économique du jeu est d’ailleurs fondé sur l’achat d’accessoires pour le paraître et achetés dans une monnaie virtuelle, obtenue en échangeant des euros en robux. Les jeunes peuvent se parler via un tchat lié au jeu et s’inviter à être amis. Ce jeu apprend à mon fils à gérer son argent (ses robux), à savoir comment se comporter dans un groupe, à manier le clavier de l’ordinateur, à inventer des solutions…
… mais immoral, léger et excessif
Le problème est qu’à l’intérieur du jeu, les enfants cambriolent la banque de la ville virtuelle pour s’amuser… il n’y a aucune morale. C’est aux parents à éduquer leurs enfants sur l’immoralité des situations. Les youtubeurs qui commentent ces jeux sont a priori insupportables (je pense à Furious Jumper). Et puis, on essaie de regarder, de comprendre le bonheur de son fils à regarder ces farceurs et on se prend au jeu. Je lui ai créé une chaîne Youtube pour qu’il apprenne aussi l’art de la vidéo et du montage… @marcuslecactus
Il faut le cadrer
Achat d’un Time Timer
J’ai investi il y a un an dans un Timer. Je m’en sers pour cadrer les sessions de jeu et limiter les excès. En règle générale, mon fils se plie à l’alarme du Timer. Mais il faut souvent négocier 10 dernières petites minutes… ! Roblox est addictif, je m’en rends bien compte. J’essaie de canaliser la fougue de mon fils pour ce jeu afin de lui éviter de tomber un cran au-dessus dans l’addiction.
Voir les bases de l’informatique
L’engouement de mon fils pour Roblox me permet d’en profiter pour lui montrer quelques bases de bureautique et de rangements de fichiers. Ça lui servira toujours. On découvre les logiciels, il cherche, il teste, il trouve, il efface… il se débrouille et c’est un bonheur à voir. Je suis consciente qu’il doit limiter son temps sur les écrans mais dans son cas, c’est une passion. Je me dois d’être plus souple…
La Plume de Xénon propose des services de rédaction Web SEO depuis 2013. En constatant que j’avais du mal à vivre correctement de ma plume, j’ai eu envie de relancer la marque, sous le nom de l’Étoile de Xénon. D’abord pour changer, redynamiser mon envie et puis pour rajouter des services à mes prestations.
Une étoile symbolique
Avec ses 8 branches, l’étoile de mon logo représente les 8 facettes de ce que je propose:
Rédaction Web
Journalisme/pige
Community Management
Naming/Wording
Mise en place et suivi d’une stratégie de contenus
Création de sites basiques
Formation au journalisme/rédaction Web/podcasts
E-COMMERCE : vente de vêtements et d’objets personnalisables avec des dessins d’artistes trouvés sur Instagram.
C’est sur cette dernière branche que s’est créé l’Étoile de Xénon le 7 septembre dernier (2022). Je tenais à recommencer mais avec un produit à vendre en plus. Comme il me paraît difficile de vendre directement du contenu, que j’ai un réseau d’artistes sur Instagram prêt à partager leur travail, que je dessine moi-même, que j’aime la mode streetwear et que je ne suis pas la seule, je me suis dis qu’une boutique en ligne de vêtements et d’objets personnalisables seraient pas mal… seulement voilà, ce n’est que de l’intuition. Je n’ai rien mesuré, rien calculé car ça, il va falloir que je sois accompagnée pour le faire…
L’Étoile de Xénon
Formation la semaine prochaine
Lundi, mardi et mercredi prochain, je me déplace pour une formation intense sur les projets de création d’entreprise. À la fin des 3 jours, j’espère être remotivée et avoir le courage d’affronter les problèmes d’argent qui me freinent dans mes élans… si je parviens à présenter un projet « propre » et qui tient la route, on pourra peut-être me faire confiance et m’aider…
Un Pitch à faire…
Si je devais écrire mon pitch à l’heure actuelle, voici ce que ça donnerait :
L’Etoile de Xénon est un site et un blog qui propose des prestations en rédaction Web, community management etc C’est aussi un relais vers la boutique digitale de vêtements et objets personnalisables que je souhaite créer pour compléter mon offre et diversifier ma clientèle.
Voilà, tout reste à faire et des associés seraient bienvenus… parlons-en !
Le 11 août dernier, un recruteur chez qui j’avais postulé m’a contacté pour passer un entretien. Ce dernier a eu lieu dès le lendemain au siège de Nouvelle Aquitaine, à Pessac. Pour la première fois de ma carrière, je sentais que j’étais à l’aise et sans stress. Du coup, l’entretien s’est très bien passé et… j’ai été convié à passer un deuxième entretien avec deux autres personnes: la chargée de recrutement et mon N+2.
Suite à ce deuxième entretien, j’ai été invité à fournir des papiers et une référence pour étoffer leur décision. J’en suis là… j’aurai la réponse dans le courant de la semaine prochaine. Cette perspective de travailler à temps plein et en CDI me rend rêveuse, curieuse et excitée ! Je me doute qu’Internet fournit de très (trop) nombreuses informations sur un candidat comme moi mais j’ose espérer que ma E-Réputation ne viendra pas me porter tort. J’ai hâte de savoir…
Pourquoi la formation ?
J’ai toujours aimé transmettre mes compétences, expliquer, faire comprendre, vulgariser… c’est d’ailleurs ma discipline initiale. Entre l’information et la formation, il n’y aurait donc qu’un pas. On informe via la vidéo, l’écrit, la télé, la radio ou Internet. On forme via le relationnel, le geste, la parole et bien évidemment une bonne dose de pédagogie. Ce métier me convient car il stimule la sociabilité, l’empathie, l’écoute et mes compétences techniques.
Dans ce poste en particulier, je devrais former des pharmaciens et des préparateurs au logiciel vendu par l’entreprise qui recrute. Après quelques mois de formation sur ce fameux Portail, je serais capable d’aller dans les pharmacies pour former les usagers de ce Logiciel… je m’éloignerais donc du marketing digital mais je resterais en contact avec le numérique et l’informatique. L’attente du résultat va être longue mais, je souhaite vivement que les recruteurs pensent que JE suis la candidate idéale pour ce poste !
La vitrine marketing et… la réalité
Formation : l’arrière boutique !
Sur LinkedIn et sur mon site Internet, je mets en avant mes compétences en journalisme et RédactionWeb. Ce sont les restes de mon auto-entreprise et de la présentation de mes compétences pour d’éventuels clients ou recruteurs. Je réservais pour quelques CV mon expérience en animation-formation. En réalité, j’ai 3 ans d’expériences en formation : un an dans un club informatique, un an avec des enfants de l’aide aux devoirs et un an dans une école avec des étudiants.
Il y a quelques semaines, j’ai décidé d’ouvrir mes candidatures au domaine de la formation, par curiosité… et j’ai bien fait ! C’est un domaine qui m’intéresse vraiment mais que j’avais rangé au fond de mes CV ! Comme quoi, il est bon de diversifier ses recherches quand on a plusieurs cordes à son arc ! Je ne sais pas ce que donnera le recrutement mais je sais désormais que mon profil accroche les recruteurs…
Si mon recrutement échouait…
…Je continuerais à postuler pour des CDI mais en parallèle, je recréerai une auto-entreprise avec un nouveau projet, plus large que la rédaction Web et plus viable aussi. Je me ferais accompagnée d’un professionnel pour ajuster mon projet et trouver un modèle économique stable. Cela dit, je souhaite vivement que ma candidature pour ce poste de formatrice en informatique officinale aboutisse favorablement.
Après un an passé à la radio R.I.G, me voilà sur le point d’entamer un virage dans ma carrière. Moi qui ai enchaîné les petits contrats, les petites durées, les petites missions… je pourrais enfin côtoyer le travail à temps plein et la stabilité d’un CDI. Pourvu que ça marche !
Être créatif ne devrait pas constituer une tare pour les recruté-e-s, quoi qu’il en soit! Un créatif saura toujours trouver l’idée que personne n’a encore eu, aborder un sujet/un problème sous un point de vue disruptif, étonner ou surprendre! Quel recruteur n’a pas besoin de cette qualité dans ses équipes ? Et la créativité n’est pas à confondre avec l’originalité… bien que… !
Barème de la créativité
Critères d’attractivité
Polyvalence 4/5;
Réactivité/Adaptabilité 5/5;
Performance 3,5/5;
Originalité 4/5;
Pertinence 3,5/5;
Éloquence 3/5;
Technique informatique3/5;
Intelligence émotionnelle 4/5;
Logique disruptive 3,5/5;
Bonnes idées 4/5.
RÉSULTATS POUR MOI : 37,5/40
Les failles du créatif !
Une pensée multidirectionnelle
Les créatifs ont une pensée en arborescence, ce qui les handicape pour de nombreuses situations mais les avantage dans beaucoup d’autres !
Des soucis avec leur propre argent
Les créatifs sont souvent recalés par peur d’excès de zèle, je ne sais pas. Du coup, ils sont souvent freelance et pas toujours reconnus à leur juste valeur.
Addict à la réflexion et… à la création
Les créatifs aiment réfléchir, aime les brainstormings, les réunions, les échanges d’idées… et il a son mot à dire !
Le créatif en brainstorming
Pour en finir avec les clichés
Non les créatifs ne sont pas tous des malades, des artistes bohêmes, des gens bizarrement habillés, étranges et inutiles à une société !
Les créatifs sont au contraire des personnalités à exploiter en confiance (il en faut) dans une société saine et efficace…
Et vous, vous en pensiez quoi, avant, des créatifs ?!
Bilan d’audience de La Plume de Xénon (LPDX), de 2017 à aujourd’hui.
5 ans et quelques mois après le lancement de mon site semi-professionnel « La Plume de Xénon », et à quelques mois de mon passage d’examens pour un Bachelor responsable marketing digital, chez STUDI, je me décide enfin à gratter les statistiques de WordPress (sans même Analytics pour le moment). Je suis plutôt satisfaite de ces résultats stables et constants. À la lumière de ces chiffres, je vise maintenant à redéfinir mon projet afin de mieux guider les utilisateurs le long du tunnel de conversion et surtout, de lancer ASAP un E-Shop lié à ce site afin de conclure la visite par un acte d’achat (seul mon fanzine est en vente actuellement, à 3€/numéro)… je vous laisse découvrir ces chiffres et l’analyse que j’en fait.
Audience moyenne, parcours, objectifs
500 vues/an du site (674 la 1ère année, 506 la seconde, 442 n+3, 443 n+4, 355 Année COVID-0, année COVID-1 en cours);
Une audience internationale, et ce, dès la première année de création.
200 visiteurs uniques/an en moyenne depuis 2017, même pendant la crise sanitaire (190 visiteurs uniques pour 355 vues).
Google est le référent principal pour la provenance du traffic (6 fois plus que WordPress et, trois fois plus que Facebook).
Le parcours de l’usager l’amène à l’accueil, puis à la rubrique « Qui est Xénon ? », puis vers le produit Fanzine à commander via le site (et via Paypal), sur mes articles de blog et sur le formulaire de contact.
Mon article sur le COVID est un des plus visités depuis le lancement de mon site, en 2017 (étant donnée la longueur et le besoin de se concentrer pour me suivre, je doute que sa position ne soit seulement due à une recherche hasardeuse… mon taux d’absorption du lecteur est, de plus très correct et, mon taux de rebond par conséquent très faible).
Audience sur 5 années complètes, une en cours…Parcours utilisateur
2017, accueil international !
Analyse et conclusions
Autonomie financière, technique, rédactions de contenus… MAIS…
Aucune proposition réelle de services à vendre.
Les objectifs SMART n’ont pas été formulés.
// Peu de réactions, peu de commentaires, quasiment pas de retours directs (hors cercle restreint).
>>>>>>>> >>>>>>>>>> Pas d’apports financiers.
Solutions à envisager
Messagerie professionnelle, Mailchimp;
Création d’un CRM
Campagnes publicitaires outils Ads;
Proposition commerciale; E-Shop (mode & déco);
Travailler le Business Plan;
Trouver des investisseurs et partenaires;
Travailler sur l’image de LPDX, la réputation, la confiance, la transmission, le partage de points de vues, la jeunesse, l’urbain etc… (Travail sur le SEO en rapport avec la proposition)
Objectifs :
court-terme : décrocher un CDI (horaires flexibles) pour être à l’aise financièrement;
moyen-terme : faire de ce site une extension professionnelle et personnelle de qui je suis, ce que je fais, ce que je sais, ce que je n’aime pas… et qu’il soit une référence pour un lambda qui a envie de lire.
long-terme : créer une agence de marketing de contenus, BtoB et BtoC, raisonnable en terme de répartitions des salaires, avoir un salaire (2500 à 3000€ par mois) et un salaire pour… une secrétaire-comptable (chargée de com’).
Pas de « fonds d’investissements »
Besoin de travailler pour vivre mais besoin d’argent pour réaliser mes projets…
En conclusion je dirais que mon site jouit d’une bonne réputation chez ceux qui le consultent mais, ces personnes ne partagent pas cette adresse autour d’eux. Ceux qui viennent, reviennent généralement. Je n’ai pas de chiffres sur le pourcentage de nouveaux usagers / mois…
Je dois créer un E-Shop pour permettre à ces utilisateurs de devenir des acheteurs potentiels, des curieux satisfaits, des fans de culture artisanale, de vêtements sportwear, de classe et de style… et de… perso – NANA – lee – za – sion ! Infinies et unique(s).
Le Shop de Mimél
Une idée, en/de plus…
Les vêtements… une façon d’étendre notre grain de…
Le principe, tel que je l’imagine…
On entre un peu par hasard, on passe un bon moment à lire, à se détendre et puis on se demande qui est cette personne qui se cache derrière cette « plume »… et… Qui est Xénon… ?… ah… ah… qu’est-ce qu’elle vend ? Ah, tiens, un fanzine cool à 3,50€, avec les frais de port et même si je prends un abonnement pour les 4, ben je préfère attendre autre chose… qu’est-ce qu’elle écrit, tiens d’ailleurs ? Ah ? Ah oui ! D’accord… bon, ben, on achète quoi sinon, par ici ????
L’idée…
Auto-relooking personnalisé et personnalisable (blog + shop de vêtements sportwear (hip-hop, street art, danse, combat…) personnalisables (partenariats avec des artistes / rétributions à négocier, mes créations et celles des artistes de mon réseau (2000 followers sur Instagram, 24K sur Tik-Tok) et combinatoires (dégradés de couleurs, large spectre de taille, hauts (classique, enfant, femme, homme) et bas (abadas de capoeira, jogging artisanaux…) + accessoires (chèches fait-main, foulards à motifs personnalisables, colliers et bijoux artisanaux, bracelets poignet/ cheville, bagues…) de façon à pouvoir, en 80€ avoir une tenue nouvelle, unique, agréable à porter et portable dans de nombreuses circonstances, en ville ou à la campagne… sans être ridicule !
Je ne suis rien qu’une citoyenne de plus qui aurait appréciée que cette pandémie ne se termine pas en pugilat social et en choix impossible entre risquer sa vie pour sauver celle des autres ou garder sa liberté en optant pour la marge…
A l’heure où de nombreuses personnes ont choisi leur camp face au nouveau cap politique donné le 12 juillet dernier, je fais partie de ceux qui ont besoin de temps pour prendre une décision. Je me suis donc lancée dans des lectures fiables (après quelques erreurs d’aiguillage), pour tendre vers un choix assumé et, si possible « éclairé ». Révoltée à l’idée d’avoir à me faire gratter le nez avant chaque sortie, et à exhiber mon état de santé pour qu’on m’autorise à voyager ou à me distraire, j’ai décidé d’essayer de comprendre, mieux, la schizophrénie ambiante. Ni militante, ni soumise, ni anti, ni pro… je suis celle qui découvre un peu naïvement que la guerre ne date pas d’hier et que les réseaux sont déjà bien armés de-ci, de-là. Bref, on m’a ouvertement invité à rester à ma place et à « laisser la science aux scientifiques »… « le charme de Twitter » comme m’a dit une copine ! Peu importe, je vous partage ici le résultat de quelques jours de lectures…
Le gros problème des sources sur Internet
De la rumeur au complot
Internet a décuplé l’effet pervers de la simple rumeur de quartier. La rumeur, à la base définie comme une « nouvelle de source incontrôlée qui se répand » prend des proportions psychotiques et angoissantes. Le problème dans cette définition ne vient ni de « la nouvelle », ni du fait qu’elle se répand, mais bien de la « source incontrôlée« . Entre les vraies « fakes-news« , la fausse désinformation (donc, la vraie info), la source trafiquée, le complotiste, l’anti-complotiste qui rejoint -à son insu- des branches de cette théorie, les checksnews qui nous mentent (…ou pas), les médias de masses, les médias alternatifs, les fiables, les non fiables et puis bon, la vie qui continue aussi… comment fait-on pour démêler, sans devenir dingue ou dépressif, le vrai du faux d’une situation dont, je l’espère, nous finirons tous par rire ?!
Puis, de l’info
La première bonne nouvelle résultant de mes dernières lectures, est que les vaccins à ARNm (BiotchN-Pfizer et Moderna) sont très efficaces pour lutter contre l’infection au SRAS-CoV-2 (Covid-19) à plus de 95%. Vous rigolez mais, ça me paraissait être un véritable challenge de le lire sans en douter ! Bon, reste à étudier avec un peu plus de recul visiblement, leur efficacité sur les infections avec la variante Delta dans les cas asymptomatiques (moi, lambda je me demande comment des personnes qui n’éternuent et ne toussent pas peuvent contaminer d’autres personnes… à part en parlant, oui… et, sans masque. Bon, passons…).
La question des vaccins ARNm précoces et des vaccins traditionnels en retard
Sanofi et Novavax: des vaccins à protéines recombinantes
On apprend aussi, en creusant, que des vaccins plus traditionnels (l’un de chez SANOFI et l’autre de NOVAVAX) sont dans la course depuis un moment. Apparemment, le battage médiatique autour de la révolution des vaccins à ARNm a mis de côté des vaccins plus classiques, qui auraient pourtant généré moins de frayeur chez nous… non ? En plus, le NOVAVAX semble particulièrement efficace pour couvrir l’ensemble des variantes de notre coronavirus mondial. Mais bon, mauvais timing pour NOVAVAX: quand ils ont été prêts à vacciner aux Etats-Unis et au Mexique en février dernier, les taux de cas étaient descendus au plus bas… ce n’était pas franchement le bon moment pour prouver une efficacité grandiose !
Vaccins à ARNm ou vaccins protéiques ?
Pour aller plus loin, ces vaccins utilisent la technique des « protéines recombinantes« . La protéine phare de la Covid-19 s’apelle Spike: c’est la protéine de la pointe du virus, qui permet son accrochage aux cellules humaines, avant de s’y inviter pour enclencher la machinerie virale ! Le but de ce genre de vaccin est d’injecter directement des protéines Spike -après fabrication in vitro- dans les cellules du corps pour inciter le système immunitaire à réagir. La fabrication artificielle de ces protéines spécifiques se fait via des cellules dont on modifie l’ADN afin qu’elles produisent des protéines dites recombinantes. Dans le cas des vaccins à ARNm, les protéines Spike vont être produites dans les cellules-mêmes du patient vacciné : l’ARNm du vaccin contient l’information génétique nécessaire à la cellule pour fabriquer la protéine voulue.
Sauf qu’a priori, il y a urgence à nous faire vacciner au plus vite…
Et pour cause:
L’épreuve des chiffres
Si je ne voyais pas la « flambée des cas », il y a quelques jours, la courbe grimpe en effet franchement ces derniers jours… c’est la fameuse « vague Delta ».
La courbe des admissions à l’hôpital n’augmente (heureusement) pas si rapidement que les cas positifs recensés. « Covid-19 : environ 85% des personnes hospitalisées en France ne sont pas vaccinées », ce titre est repris par l’ensemble des médias traditionnels…
Bien qu’il n’y ait encore que « peu » de décès comptabilisés avec cette 4ème vague épidémique, le chiffre »87,9% de plus en 7 jours » permet de douter encore de son scepticisme et de se poser à nouveau des questions…
Le cas particulièrement inquiétant de Delta
Une transmissibilité inédite et des mutations multiples
Et, oui, ce variant Delta est beaucoup plus transmissible que la souche Alpha d’origine. Ce qui le rend largement mortel n’est pas tant son infection dans un organisme mais bien une propagation démultipliée et, un temps d’incubation a priori plus court (4 jours au lieu de 6 chez d’autres variants). Si au début de la pandémie, une personne infectée pouvait contaminer 2 ou 3 personnes, pour une personne infectée au variant Delta, ce sont environ 6 personnes qui sont contaminées…
D’après la lecture de l’article dont vous avez une capture d’écran ci-dessous du titre en anglais, de l’auteur et du support éditorial, la haute contagiosité de ce variant serait due à des mutations sur la protéine Spike et à de nouveaux changements génétiques. Les mutations au niveau de la protéine de pointe peuvent ainsi aider le virus à échapper aux anticorps générés par le virus…
J’ai profité d’une traduction très efficace sur mon Smartphone…
Un travail d’équipe pour toutes ces mutations
C’est l’assemblage de toutes ces mutations retrouvées aussi dans tel ou tel autre variant qui rend redoutable cette version Delta du virus. L’une de ces mutations, appelée P681R (présente au niveau du variant Kappa) concerne le début de la séquence du génome de la protéine Spike du virus, sur le « site de clivage de la furine« . En fait, la protéine de pointe (clé pour entrer dans les cellules) porte une séquence d’activation inhabituelle (code pour activer la protéine S) qui doit être « coupée » par des enzymes (ciseaux moléculaires). La furine est une de ces enzyme dites protéases (elle découpe les protéines), naturellement présente chez l’homme. Elle serait détournée par le virus, qui l’utiliserait à son escient pour « sculpter » sa protéine Spike et se permettre ainsi d’entrer dans la cellule (Rasmussen). Finalement, le clivage du « code » d’activation de la protéine de pointe par la furine est en lien étroit avec le déclenchement de l’infection et la propagation du virus dans le corps.
Une autre mutation, la L452R (présente notamment dans les variants Delta et Kappa) semble particulièrement inquiéter les autorités de santé. Cette mutation impactant le domaine de liaison au récepteur de la protéine Spike, elle diminue l’efficacité des anticorps.
S’ajoutent à ces mutations des changements génétiques inédits, en dehors du domaine de liaison au récepteur de la protéine S (mutation D950N) ou des mutations au niveau de ce que l’on appelle le domaine N-Terminal de la protéine de pointe. Cette dernière mutation expliquerait que des personnes vaccinées puissent être infectées par le virus Delta et le transmettre tout en ne ressentant que des symptômes bénins.
La pseudo-bonne nouvelle
Bien que la charge virale de ce variant Delta soit beaucoup plus élevée que la « normale », « les vaccins COVID existants restent principalement efficaces contre la variante Delta« . C’est ce qu’on peut lire partout dans la presse traditionnelle , en plus de mon article scientifique de référence (ou pseudo-scientifique pour les puristes !).
Après la biologie, mes questions tournent autour de la politique de santé…
Des médicaments déjà connus pourraient protéger les non vaccinés et leur éviter une hospitalisation
Ce que j’ai lu, notamment dans cet article paru dans Sciences News (voir capture d’écran plus bas), m’a permis de comprendre la grogne latente de nombreux médecins généralistes, pointés du doigts par l’Ordre des Médecins. Ces soignants voudraient prescrire des « Traitements Ambulatoires Précoces« . Ces médicaments, une fois testés, validés et autorisés permettraient de traiter des personnes à domicile, limiter l’aggravation de la maladie et, éviter l’engorgement des hôpitaux.
Article révélant les résultats d’études sur ces traitements précoces, avec ou sans succès…
Si l‘hydroxychloriquine aurait été balayée par l’ensemble de la communauté scientifique pour son absence d’effet sur le blocage de la voie d’entrée privilégiée du Covid dans les cellules, l’ivermectine (présente dans le tableau) semble prometteuse mais encore controversée (médicament antiparasitaire, vétérinaire) pour stopper la machinerie virale. Quant au Remdesivir, dont on soupçonne l’Europe d’avoir investit beaucoup d’argent dans ce médicament, il s’avère inefficace.
Tableau des TAP, présenté par un Tweet de la part de Martine Wonner, députée et médecin psychiatre… vous connaissez sûrement la suite.
Beaucoup de ces médicaments (dont l’hydroxychloroquine) provoquent, de plus, une réaction anormale dite phospholipidose. Le mécanisme de construction et d’utilisation des graisses par les cellules humaines est ainsi perturbé : certaines cellules ont alors un aspect mousseux. Ce dysfonctionnement pourrait ne pas être inintéressant pour éviter la réplication du virus. Le problème réside notamment dans les forts dosages à administrer pour provoquer la réaction voulue…
Un nouveau programme appelé ACTIV-6 (Accélération des Thérapeutiques, des Interventions et des Vaccins liés à la COVID-19) donnera l’urgence au développement de ces possibilités prometteuses. Le premier médicament à être testé dans cette enquête est l’Ivermectine. Comme dit précédemment, les résultats actuels manquent d’essais et de résultats répétés… certains médecins attendent son AMM.
La question qu’on est en droit de se poser est de savoir si ces médicaments seraient réellement une aubaine pour le gouvernement qui a investi 3 milliards d’euros pour les vaccins actuels et qui, du coup, compte bien « inciter » les gens à se faire vacciner, en privant de liberté et de dignité ceux qui ne le font pas. Si les gens se soignaient avant d’aller à l’hôpital, ils développeraient pourtant une immunité plus naturelle (il me semble) qu’avec un vaccin à ARNm et il y aurait beaucoup moins de malades aux urgences et donc… de mortalité. Mais, le gouvernement se retrouveraient avec des stocks de vaccins et un sacré manque à gagner… est-ce complotiste de penser qu’un gouvernement prend soin de sa trésorerie plutôt que de perdre de l’argent au profit de notre volonté de choisir notre traitement ?
Est-ce égoïste de penser qu’on ne court pas se faire injecter un vaccin « révolutionnaire » dans le bras juste parce que Mr le Président, ses ministres et finalement l’ensemble des médias traditionnels nous l’ordonnent ? Ai-je vraiment été informée par ces mêmes médias au travers d’ émissions, mettant en confrontation des scientifiques sceptiques modérés à des scientifiques convaincus de l’efficacité quasi-totale du vaccin ? Au lieu de ça, je me suis noyée dans la toile, entre complotistes radicaux, sceptiques paumés, pro-vaccins virulents, médecins pompeux, personnalités exécrables, mensonges, ramassis d’âneries et puis… j’ai essayé de lire la science. J’aime la biologie. Il me semble que tout le reste ne me regarde pas. Mon acte héroïque et altruiste, je finirai sûrement par le faire, et en attendant, j’assume la responsabilité de ma non protection, en restant cloîtrée chez moi à lire…
Cette partie-là de l’article de Liz Szabo (journaliste, certes, américaine, bon… spécialisée en santé, OK) présenté plus haut est troublante:
« En ne contenant pas le virus par la vaccination, en portant des masques, en évitant les foules, les gens permettent au virus de se transformer en des formes de plus en plus dangereuses » (Dr William Hasltine, ancien professeur de la Harvard Medical School)
Donc oui au vaccin, non au masque, oui aux rassemblements !
Il termine:
« Avoir la moitié de la population vaccinée et la moitié non vaccinée et non protégée, c’est l’expérience exacte que je concevrais si j’étais un diable et que j’essayais de concevoir un virus anti-vaccin ».
Personnellement, je trouve que c’est fort… maintenant que la campagne est lancée, il sera malheureusement difficile de faire machine arrière…
Pas évident, malgré tout, de ne pas remettre en questions l’impartialité de cette journaliste et de tous ceux qui prennent parti pour la vaccination. Je ne peux m’empêcher de garder en tête la globalité des revendications des manifestants contre l’obligation de vaccination et l’élargissement du passe sanitaire… je cautionne dans l’ensemble leur combat pour un consentement éclairé et pour la liberté de décider (et d’assumer) si le vaccin leur est bénéfique, ou non, suivant leur âge et leurs antécédents médicaux.
Sauf que je ne suis pas capable de vivre dans cette schizophrénie d’opinions, surtout en restant indécise. Les chiffres me font peur, les médias traditionnels en rajoutent, la théorie alternative me fait frissonner de terreur pour mon avenir et celui de mon fils, les pros sont démagos, les anti sont provocs, les modérés sont rares… et moi, dans tout ça ? Pourquoi en suis-je là ? Cauchemars nocturnes, angoisses diurnes, obsession, paranoïa, rupture familiale, incompréhensions, humiliations… je ne suis pas journaliste, je suis formée au journalisme scientifique ! Je ne suis rien qu’une citoyenne de plus qui aurait appréciée que cette pandémie ne se termine pas en pugilat social et en choix impossible entre risquer sa vie pour sauver celle des autres ou garder sa liberté en optant pour la marge…
Après quasiment une année de recherches intensives d’alternance dans le domaine du « marketing digital » et une très bonne pratique de l’ascenseur émotionnel, je devais me rendre à l’évidence : j’avais échoué dans mon projet. C’est dans cet état d’esprit défaitiste et pessimiste que la vie m’a ouvert une porte, aussi imprévue qu’inespérée ! Retour dans cet article, sur cette année chaotique et sur cette surprise prometteuse …
Année sombre pour l’alternance
Des aides destinées avant tout aux jeunes !
Bien que les aides de l’État se soient appliquées à tous les contrats d’apprentissage, quel que soit l’âge du bénéficiaire, lorsqu’on regarde la grille tarifaire, il est évident que les structures privilégient l’embauche d’un jeune de moins de 26 ans :
C’est tellement évident pour certains recruteurs, que je me suis retrouvée dans des situations très embarrassantes, notamment en entretien avec un responsable plutôt maladroit… il parcourait en effet mon compte Instagram et, en voyant une photo de moi, il s’est permis de me dire : « il y a une photo d’une dame, ça doit être ta mère »… Un peu abasourdie par son culot, je lui ai simplement rappelé mon âge.
C’est ma RQTH (Reconnaissance en Qualité de Travailleur Handicapé) qui m’a permis de rejoindre le dispositif de relance de l’apprentissage lié au contexte sanitaire. Ce qui aurait pu être un avantage dans ma recherche d’alternance s’est avéré insuffisant en terme d’aides spécifiques (3000€ maximum sur 12 mois). Lorsque je présentais cet argument en dernier recours, l’aide dérisoire de l’AGEFIPH ne suffisait pas à réorienter la décision de l’employeur.
D’autre part, très peu de structures sont ouvertes à l’embauche d’un senior, en contrat d’apprentissage ou en contrat de professionnalisation. La question du coût est sûrement en jeu mais, les profils seniors (en reconversion notamment) ne sont peut-être pas valorisés dans l’esprit des recruteurs…
Un coût impossible à supporter pour les petites structures
Certains employeurs étaient enthousiastes à l’idée de me prendre en alternance mais, ils se sont ravisés en calculant le coût de mon contrat et leur « reste à charge ». Pour certains ce coût, rajouté aux incertitudes liées à la COVID, ont été définitifs. Dans tous les cas, il me semble que mon projet en cette année particulière, était en inadéquation avec la réalité du marché, et surtout du contexte économique et sanitaire.
Des tests d’aptitude ultra-sélectifs
Sur les cinq ou six retours positifs à mes candidatures, j’ai dû passer trois tests:
Pour une agence, d’abord, un test de rédaction avec un brief précis et détaillé (nombre de mots, thématique, cible, mots-clés et ton). Malgré mon expertise, voici les retours du responsable : exercice compris dans l’ensemble, mots-clés placés, angle intéressant mais rédaction trop factuelle dans le style, problèmes de formulation, candidature non retenue.
Pour une école en ligne, un test d’aptitude créative pour lequel j’avais même pris soin de contacter, pour relecture et avis, un professionnel sur LinkedIn et dont voici, en bref, les retours : bonne rédaction de l’article, très bonne argumentation pour l’exercice de naming mais, le ton et l’ambiance des deux premiers exercices sont un peu loin de nos attentes… candidature non retenue.
Pour une autre école en ligne, un test de compétences qui me vaudra globalement ces retours : manque d’expérience (je n’ai mis aucun emoji sur une publicité Facebook fictive à destination de jeunes bacheliers et mon texte était un peu long) malgré une bonne connaissance en SEO, trop « résignée » en entretien…
L’emprise du doute
L’échec et son cortège d’émotions négatives
Après près de 150 candidatures, 6 entretiens et autant d’échecs, une remise en question globale s’est imposée à moi : mon projet professionnel était-il viable ? N’étais-je pas trop ambitieuse ? Ne m’étais-je pas trompée d’orientation ? Y-avait-il vraiment une place pour moi dans ce milieu du marketing digital ? Quelle était réellement la place du contexte sanitaire dans mes difficultés ?
Bref, ma ligne d’horizon a fini par s’effacer, mon espoir s’est tu et mon optimisme a cédé sa place à la noirceur de l’incertitude. Je continuais à me lever tous les matins, à me connecter à ma plateforme de formation, à rechercher désormais un stage mais, au fond de moi, j’avais perdu mon combat de la réinsertion professionnelle.
Élan de nostalgie
C’est dans ce fatras émotionnel qu’un soir, je me décide à vérifier si ICQ (I Seek You, messagerie instantanée) existe toujours. Je l’utilisais dans les années 90, quand j’ai commencé à me servir d’Internet et, j’en avais un souvenir positif d’échanges ouverts, respectueux et riches ! En téléchargeant l’application sur mon téléphone, je n’espérais pas grand chose et fut même étonnée que l’appli existe. Le son des notifications n’avait pas changé et, c’est d’ailleurs à peu près le seul détail qui la rapprochait de son ancienne version.
Malgré la jungle humaine qui se côtoie sur cette nouvelle peau d’ICQ, j’ai rapidement sympathisé avec un nostalgique du Web prometteur de ces années 90. Nous nous mettons à rêver d’un Web alternatif, d’éducation à l’usage du numérique, d’indépendance, de décentralisation… bref, aussi utopiques soient nos échanges, ils me redonnent un peu d’espoir et d’énergie pour avancer.
Vers de nouveaux questionnements
Mes échanges sur ICQ m’amènent à m’interroger encore plus sur mon projet professionnel. Comment concilier mes idéaux et ma nostalgie d’un Web indépendant, décentralisé et mes compétences professionnelles axées sur une logique du résultat tournant autour des algorithmes de Google ?
Le lien ci-dessous (en anglais, je n’ai pas retrouvé la source an français) vous donnera un aperçu du travail d’ores et déjà amorcé par certaines communautés pour offrir une alternative au Big Web que nous connaissons tous aujourd’hui:
Ces questionnements m’ont, peu à peu, rapproché de ma passion première, le journalisme scientifique, tout en laissant en suspens mes interrogations sur le paradoxe de mes compétences…
La surprise du « hasard »
Un mail inespéré
Le 18 avril dernier, j’ai reçu, par mail, une proposition d’emploi à mi-temps dans une radio locale où j’ai déjà travaillée. Le brouillard causé par cette année difficile, m’oblige à saisir cette opportunité en vol. Je connais le travail, je connais la responsable, je connais les gens qui gravitent autour de cet univers : en fait, je suis ravie de cette excellente surprise !
Je serais en charge d’animer deux émissions, l’une autour de la nature, de l’environnement et des sciences agricoles, l’autre autour de la santé et des sujets de société. Évidemment, étant donné mon profil mi-scientifique, mi-littéraire, ces thématiques m’enthousiasment beaucoup.
Une graine semée en entretien
Lors de l’entretien, j’apprends que la responsable projette de recruter un autre candidat à mi-temps avec un profil plutôt « commercial ». Depuis, l’idée de convaincre les seniors en charge de cette radio locale des avantages de l' »Inbound Marketing » dans l’augmentation de leur audience et de leur image de marque auprès des organismes publics qui pourraient les subventionner, ne cesse de grandir.
Mais, je me heurte à plusieurs problèmes :
La radio existe depuis 30 ans, la responsable a du mal à entrevoir les possibilités liés à la digitalisation.
Il n’y a pas de blog.
Je n’ai pas assez d’expériences pour faire-valoir mes résultats.
En attente du feu vert de… Pôle Emploi
Lors de l’entretien en début de semaine, la responsable de la radio m’a informé du blocage de ma candidature à Pôle Emploi, du fait de mon statut actuel : « en formation ». Cela fait donc quelques jours que je me retrouve dans une situation inconfortable avec beaucoup trop de retard accumulé pour être en mesure de passer mes examens en juin et, une embauche en suspens…
Je ne peux pas croire, cependant, que je ne puisse pas accéder à un emploi, sous prétexte que je me suis engagée dans une formation pour laquelle aucun avenir certain n’est assuré. Je ne pourrais pas attendre indéfiniment les retours du Pôle Emploi et, je compte bien démêler cette affaire le plus vite possible. Après l’enfer du doute, vient l’inconfort de l’attente !