Des designs street art pour personnaliser des vêtements

Sweats à personnaliser avec une galerie de dessins au choix

Une galerie de monstres façon Street Art

30 designs uniques et originaux

Ces personnages street art sont réalisés à partir de deux ou trois couleurs maximum par dessin. Il en ressort une couleur dominante et une , qui rend l’harmonisation des couleurs avec un vêtement streetwear, très facile. Chaque personnage façon Keith Haring est unique et original. Sur les 30 modèles de design, aucun n’est semblable à un autre.

La variation des formes et l’harmonie des couleurs donne au client une large gamme de choix pour personnaliser son sweatshirt. Chaque dessin est signé par l’artiste qui a créé cette galerie Street Art : Emma Cardinal. Elle a 2000 abonnés sur Instagram où elle poste ses dessins depuis 7 ans.

Un cadre de format unique

Les cadres des dessins originaux sont de 15 cm sur 11 cm. L’invariabilité de cette constante était propice à l’utilisation de ces graphismes pour de la personnalisation de vêtements. Les dessins proposés sur les photos de présentation seront refaits pour servir de matrice à chaque même commande.

Dans ce cadre à la taille invariable, l’artiste a joué avec les lignes, les courbes, les symétries, les dissymétries et le choix des couleurs pour rendre infinies les possibilités. Cette première série a été inspirée des travaux de Keith Haring, street artiste célèbre des années 80.

Des prototypes avant flocage

Photos réalisées sur Tunetoo.com

Les sites de personnalisation de vêtements en ligne ne manquent pas. Pour réaliser des prototypes visuels, nous nous sommes servis du site Tunetoo.com. Cela nous permet d’avoir un aperçu du produit final et aussi du prix proposé par ce site. Pour être tout à fait transparents à ce stade du projet, le site Tunetoo propose ce sweat avec le dessin en impression digitale à près de 40€.

Design idéal pour personnaliser un sweat sportwear

Les couleurs funs des dessins se marient bien avec toutes les couleurs de la gamme chromatique. Chaque couleur ayant sa complémentaire, il y a une possibilité infinie de décliner forme du sweat, couleur du sweat et choix du dessin.

Le projet ne fait que démarrer. Nous testons pour le moment les réactions des auditeurs au produit. Seriez-vous prêt à mettre 70€ dans un sweat streetwear avec un dessin original imprimé au dos ?

RDV sur la boutique pour commander votre sweat personnalisé ou votre sac en jean fait main !

Pourquoi pas proposer un produit à vendre pour relancer La Plume de Xénon ?

La Plume de Xénon

Rédaction Web

La Plume de Xénon propose des services de rédaction Web SEO depuis 2013. En constatant que j’avais du mal à vivre correctement de ma plume, j’ai eu envie de relancer la marque, sous le nom de l’Étoile de Xénon. D’abord pour changer, redynamiser mon envie et puis pour rajouter des services à mes prestations.

Une étoile symbolique

Avec ses 8 branches, l’étoile de mon logo représente les 8 facettes de ce que je propose:

  • Rédaction Web
  • Journalisme/pige
  • Community Management
  • Naming/Wording
  • Mise en place et suivi d’une stratégie de contenus
  • Création de sites basiques
  • Formation au journalisme/rédaction Web/podcasts
  • E-COMMERCE : vente de vêtements et d’objets personnalisables avec des dessins d’artistes trouvés sur Instagram.

C’est sur cette dernière branche que s’est créé l’Étoile de Xénon le 7 septembre dernier (2022). Je tenais à recommencer mais avec un produit à vendre en plus. Comme il me paraît difficile de vendre directement du contenu, que j’ai un réseau d’artistes sur Instagram prêt à partager leur travail, que je dessine moi-même, que j’aime la mode streetwear et que je ne suis pas la seule, je me suis dis qu’une boutique en ligne de vêtements et d’objets personnalisables seraient pas mal… seulement voilà, ce n’est que de l’intuition. Je n’ai rien mesuré, rien calculé car ça, il va falloir que je sois accompagnée pour le faire…

L’Étoile de Xénon

Formation la semaine prochaine

Lundi, mardi et mercredi prochain, je me déplace pour une formation intense sur les projets de création d’entreprise. À la fin des 3 jours, j’espère être remotivée et avoir le courage d’affronter les problèmes d’argent qui me freinent dans mes élans… si je parviens à présenter un projet « propre » et qui tient la route, on pourra peut-être me faire confiance et m’aider…

Un Pitch à faire…

Si je devais écrire mon pitch à l’heure actuelle, voici ce que ça donnerait :

L’Etoile de Xénon est un site et un blog qui propose des prestations en rédaction Web, community management etc C’est aussi un relais vers la boutique digitale de vêtements et objets personnalisables que je souhaite créer pour compléter mon offre et diversifier ma clientèle.

Voilà, tout reste à faire et des associés seraient bienvenus… parlons-en !

En attendant, la coquille est est par là.

Formatrice en informatique : l’envers du décor…

Transmettre : un grand plaisir !

Deux entretiens et l’espoir d’une reconversion

Le 11 août dernier, un recruteur chez qui j’avais postulé m’a contacté pour passer un entretien. Ce dernier a eu lieu dès le lendemain au siège de Nouvelle Aquitaine, à Pessac. Pour la première fois de ma carrière, je sentais que j’étais à l’aise et sans stress. Du coup, l’entretien s’est très bien passé et… j’ai été convié à passer un deuxième entretien avec deux autres personnes: la chargée de recrutement et mon N+2.

Suite à ce deuxième entretien, j’ai été invité à fournir des papiers et une référence pour étoffer leur décision. J’en suis là… j’aurai la réponse dans le courant de la semaine prochaine. Cette perspective de travailler à temps plein et en CDI me rend rêveuse, curieuse et excitée ! Je me doute qu’Internet fournit de très (trop) nombreuses informations sur un candidat comme moi mais j’ose espérer que ma E-Réputation ne viendra pas me porter tort. J’ai hâte de savoir…

Pourquoi la formation ?

J’ai toujours aimé transmettre mes compétences, expliquer, faire comprendre, vulgariser… c’est d’ailleurs ma discipline initiale. Entre l’information et la formation, il n’y aurait donc qu’un pas. On informe via la vidéo, l’écrit, la télé, la radio ou Internet. On forme via le relationnel, le geste, la parole et bien évidemment une bonne dose de pédagogie. Ce métier me convient car il stimule la sociabilité, l’empathie, l’écoute et mes compétences techniques.

Dans ce poste en particulier, je devrais former des pharmaciens et des préparateurs au logiciel vendu par l’entreprise qui recrute. Après quelques mois de formation sur ce fameux Portail, je serais capable d’aller dans les pharmacies pour former les usagers de ce Logiciel… je m’éloignerais donc du marketing digital mais je resterais en contact avec le numérique et l’informatique. L’attente du résultat va être longue mais, je souhaite vivement que les recruteurs pensent que JE suis la candidate idéale pour ce poste !

La vitrine marketing et… la réalité

Formation : l’arrière boutique !

Sur LinkedIn et sur mon site Internet, je mets en avant mes compétences en journalisme et Rédaction Web. Ce sont les restes de mon auto-entreprise et de la présentation de mes compétences pour d’éventuels clients ou recruteurs. Je réservais pour quelques CV mon expérience en animation-formation. En réalité, j’ai 3 ans d’expériences en formation : un an dans un club informatique, un an avec des enfants de l’aide aux devoirs et un an dans une école avec des étudiants.

Il y a quelques semaines, j’ai décidé d’ouvrir mes candidatures au domaine de la formation, par curiosité… et j’ai bien fait ! C’est un domaine qui m’intéresse vraiment mais que j’avais rangé au fond de mes CV ! Comme quoi, il est bon de diversifier ses recherches quand on a plusieurs cordes à son arc ! Je ne sais pas ce que donnera le recrutement mais je sais désormais que mon profil accroche les recruteurs…

Si mon recrutement échouait…

…Je continuerais à postuler pour des CDI mais en parallèle, je recréerai une auto-entreprise avec un nouveau projet, plus large que la rédaction Web et plus viable aussi. Je me ferais accompagnée d’un professionnel pour ajuster mon projet et trouver un modèle économique stable. Cela dit, je souhaite vivement que ma candidature pour ce poste de formatrice en informatique officinale aboutisse favorablement.

Après un an passé à la radio R.I.G, me voilà sur le point d’entamer un virage dans ma carrière. Moi qui ai enchaîné les petits contrats, les petites durées, les petites missions… je pourrais enfin côtoyer le travail à temps plein et la stabilité d’un CDI. Pourvu que ça marche !

Contre les clichés du « créa »

Être créatif ne devrait pas constituer une tare pour les recruté-e-s, quoi qu’il en soit! Un créatif saura toujours trouver l’idée que personne n’a encore eu, aborder un sujet/un problème sous un point de vue disruptif, étonner ou surprendre! Quel recruteur n’a pas besoin de cette qualité dans ses équipes ? Et la créativité n’est pas à confondre avec l’originalité… bien que… !

Barème de la créativité

Critères d’attractivité

  • Polyvalence 4/5;
  • Réactivité/Adaptabilité 5/5;
  • Performance 3,5/5;
  • Originalité 4/5;
  • Pertinence 3,5/5;
  • Éloquence 3/5;
  • Technique informatique3/5;
  • Intelligence émotionnelle 4/5;
  • Logique disruptive 3,5/5;
  • Bonnes idées 4/5.

RÉSULTATS POUR MOI : 37,5/40

Les failles du créatif !

Une pensée multidirectionnelle

Les créatifs ont une pensée en arborescence, ce qui les handicape pour de nombreuses situations mais les avantage dans beaucoup d’autres !

Des soucis avec leur propre argent

Les créatifs sont souvent recalés par peur d’excès de zèle, je ne sais pas. Du coup, ils sont souvent freelance et pas toujours reconnus à leur juste valeur.

Addict à la réflexion et… à la création

Les créatifs aiment réfléchir, aime les brainstormings, les réunions, les échanges d’idées… et il a son mot à dire !

Le créatif en brainstorming

Pour en finir avec les clichés

Non les créatifs ne sont pas tous des malades, des artistes bohêmes, des gens bizarrement habillés, étranges et inutiles à une société !

Les créatifs sont au contraire des personnalités à exploiter en confiance (il en faut) dans une société saine et efficace…

Et vous, vous en pensiez quoi, avant, des créatifs ?!

Bilan de rentrée de la PDX…

Un blog qui fait bloc !

France-Etats-Unis-Chine : mes visiteurs !

4 téléchargements de ma 1ère chanson faite de brique et de broque !

PARCOURS DE VISITE :

Sur 100 visiteurs, j’en ai gardé 3 jusqu’à la proposition d’achat de mon Fanzine en 2022 et jusqu’à aujourd’hui…

De la création à aujourd’hui : régularité !

Doucement, mais sûrement…

SEE YOU…

Analyse d’audience de LPDX

Bilan d’audience de La Plume de Xénon (LPDX), de 2017 à aujourd’hui.

5 ans et quelques mois après le lancement de mon site semi-professionnel « La Plume de Xénon », et à quelques mois de mon passage d’examens pour un Bachelor responsable marketing digital, chez STUDI, je me décide enfin à gratter les statistiques de WordPress (sans même Analytics pour le moment). Je suis plutôt satisfaite de ces résultats stables et constants. À la lumière de ces chiffres, je vise maintenant à redéfinir mon projet afin de mieux guider les utilisateurs le long du tunnel de conversion et surtout, de lancer ASAP un E-Shop lié à ce site afin de conclure la visite par un acte d’achat (seul mon fanzine est en vente actuellement, à 3€/numéro)… je vous laisse découvrir ces chiffres et l’analyse que j’en fait.

Audience moyenne, parcours, objectifs

  • 500 vues/an du site (674 la 1ère année, 506 la seconde, 442 n+3, 443 n+4, 355 Année COVID-0, année COVID-1 en cours);
  • Une audience internationale, et ce, dès la première année de création.
  • 200 visiteurs uniques/an en moyenne depuis 2017, même pendant la crise sanitaire (190 visiteurs uniques pour 355 vues).
  • Google est le référent principal pour la provenance du traffic (6 fois plus que WordPress et, trois fois plus que Facebook).
  • Le parcours de l’usager l’amène à l’accueil, puis à la rubrique « Qui est Xénon ? », puis vers le produit Fanzine à commander via le site (et via Paypal), sur mes articles de blog et sur le formulaire de contact.
  • Mon article sur le COVID est un des plus visités depuis le lancement de mon site, en 2017 (étant donnée la longueur et le besoin de se concentrer pour me suivre, je doute que sa position ne soit seulement due à une recherche hasardeuse… mon taux d’absorption du lecteur est, de plus très correct et, mon taux de rebond par conséquent très faible).
Parcours utilisateur

Analyse et conclusions

Autonomie financière, technique, rédactions de contenus… MAIS…

Aucune proposition réelle de services à vendre.

Les objectifs SMART n’ont pas été formulés.

// Peu de réactions, peu de commentaires, quasiment pas de retours directs (hors cercle restreint).

>>>>>>>> >>>>>>>>>> Pas d’apports financiers.

Solutions à envisager

  • Messagerie professionnelle, Mailchimp;
  • Création d’un CRM
  • Campagnes publicitaires outils Ads;
  • Proposition commerciale; E-Shop (mode & déco);
  • Travailler le Business Plan;
  • Trouver des investisseurs et partenaires;
  • Travailler sur l’image de LPDX, la réputation, la confiance, la transmission, le partage de points de vues, la jeunesse, l’urbain etc… (Travail sur le SEO en rapport avec la proposition)
  • Objectifs :
    • court-terme : décrocher un CDI (horaires flexibles) pour être à l’aise financièrement;
    • moyen-terme : faire de ce site une extension professionnelle et personnelle de qui je suis, ce que je fais, ce que je sais, ce que je n’aime pas… et qu’il soit une référence pour un lambda qui a envie de lire.
    • long-terme : créer une agence de marketing de contenus, BtoB et BtoC, raisonnable en terme de répartitions des salaires, avoir un salaire (2500 à 3000€ par mois) et un salaire pour… une secrétaire-comptable (chargée de com’).

Pas de « fonds d’investissements »

Besoin de travailler pour vivre mais besoin d’argent pour réaliser mes projets…

En conclusion je dirais que mon site jouit d’une bonne réputation chez ceux qui le consultent mais, ces personnes ne partagent pas cette adresse autour d’eux. Ceux qui viennent, reviennent généralement. Je n’ai pas de chiffres sur le pourcentage de nouveaux usagers / mois…

Je dois créer un E-Shop pour permettre à ces utilisateurs de devenir des acheteurs potentiels, des curieux satisfaits, des fans de culture artisanale, de vêtements sportwear, de classe et de style… et de… perso – NANA – lee – za – sion ! Infinies et unique(s).

Le Shop de Mimél

Une idée, en/de plus…
Les vêtements… une façon d’étendre notre grain de…

Le principe, tel que je l’imagine…

On entre un peu par hasard, on passe un bon moment à lire, à se détendre et puis on se demande qui est cette personne qui se cache derrière cette « plume »… et… Qui est Xénon… ?… ah… ah… qu’est-ce qu’elle vend ? Ah, tiens, un fanzine cool à 3,50€, avec les frais de port et même si je prends un abonnement pour les 4, ben je préfère attendre autre chose… qu’est-ce qu’elle écrit, tiens d’ailleurs ? Ah ? Ah oui ! D’accord… bon, ben, on achète quoi sinon, par ici ????

L’idée…

Auto-relooking personnalisé et personnalisable (blog + shop de vêtements sportwear (hip-hop, street art, danse, combat…) personnalisables (partenariats avec des artistes / rétributions à négocier, mes créations et celles des artistes de mon réseau (2000 followers sur Instagram, 24K sur Tik-Tok) et combinatoires (dégradés de couleurs, large spectre de taille, hauts (classique, enfant, femme, homme) et bas (abadas de capoeira, jogging artisanaux…) + accessoires (chèches fait-main, foulards à motifs personnalisables, colliers et bijoux artisanaux, bracelets poignet/ cheville, bagues…) de façon à pouvoir, en 80€ avoir une tenue nouvelle, unique, agréable à porter et portable dans de nombreuses circonstances, en ville ou à la campagne… sans être ridicule !

La suite à la prochaine pause-vitC !

Employeur H/F (région bordelaise)

Marketing Digital

Qui suis-je ?

Jusque là indépendante, je cherche aujourd’hui à intégrer une équipe et connaître la stabilité professionnelle. J’ai choisi pour cela de me former au « marketing digital » en alternance et, je recherche donc une structure pour réaliser un contrat d’apprentissage (j’y suis éligible).

Mon métier ?

Âgée de 42 ans, j’attends de vous que vous voyiez dans cette réalité incompressible, une opportunité de gagner du temps dans la prise de poste et, de confier rapidement des missions à votre apprentie. Déjà formée au journalisme et à la rédaction SEO, je suis en cours d’acquisition des compétences purement marketing.

Après un DEUG de biologie, je me tourne vers le journalisme scientifique (DESS), à Paris VII. De retour à Bordeaux, je me généralise (actualités régionales notamment), tout en continuant à proposer des piges.

Parallèlement à mon travail en radio ou dans la presse écrite, je m’intéresse au digital et, notamment à l’écriture SEO. En 2013, je lance mon auto-entreprise et me forme à cette écriture intégrant des mots-clés de manière subtile. Je collabore alors avec Korleon’Bizz ou, plus tard avec Hi-Commerce, tous les deux reconnus en matière de référencement naturel. Ma collaboration avec Pim-Bim pour le lancement de sa plateforme de rédaction m’a permis de me familiariser avec le vocabulaire et les mécanismes du marketing digital.

PROFIL

Je suis faite pour vous si :

  • Vous êtes plus calme que stressé (et donc, stressant).
  • Vous appréciez la réactivité, la simplicité et le respect des contraintes.
  • Vous préférez prendre le temps d’expliquer les choses une fois pour toutes plutôt que de laisser faire d’emblée et, râler systématiquement contre des erreurs réitérées.
  • Vous aimez les personnes créatives avec une pensée analytique, des idées originales et, une sensibilité appropriée.

Compétences :

  • Si vous êtes une agence, j’apprécierais la polyvalence des projets et, la possibilité de mettre à contribution mes capacités rédactionnelles pour vos clients. J’aimerais également mettre en pratique mes cours sur la gestion de projets, la stratégie de contenus voire, sur la partie développement Web.
  • Si vous êtes un E-commerçant, je me ferais un plaisir de manipuler le back-office de votre Prestashop (ou autre) pour rédiger ou réécrire vos fiches produits et participer à l’amélioration de votre référencement naturel. Vos compétences de E-commerçant m’aideront à affiner ma définition du « marketing digital« .
  • Si vous êtes une entreprise, quelle que soit sa taille, j’aimerais participer à son innovation en réfléchissant avec vous aux meilleures solutions pour la faire grandir et accroître sa communauté d’utilisateurs. J’aimerais, pourquoi pas, m’occuper du Community Management ou/et assister la gestion de projets, tout en alimentant votre site d’articles sur-mesure pour satisfaire la curiosité de vos clients.

RÉMUNÉRATION

100% du SMIC

Aide exceptionnelle de l’État de 8000€ jusqu’au 28/02/2021 + aides complémentaires de 3000€ maximum (demandez-moi pour plus d’informations).

DISPONIBILITÉ ET RYTHME

Je suis disponible immédiatement au rythme qui vous conviendra le plus (que pensez-vous de 3 jours chez vous et 2 jours en formation ?).

SEO et moi : l’annonce d’un divorce sans bruit

En faisant mes premiers pas dans le SEO sur une des plateformes, célèbres en la matière, je ne me doutais pas de ce qui m’attendait. Je n’avais encore mis qu’un pied dans un univers qui ne correspondait pas à la vision que j’avais du progrès, de l’amélioration des contenus Web et… des répartitions équitables des budgets clients et… de la part allouée à la rédaction.

J’ai pourtant joué le jeu, travaillant pour ces clients qui demandent la qualité, l’excellence, la perfection pour des cacahouètes (sans sel). Parmi mes clients, il y a aussi eu ceux « de passage », auxquels j’ai répondu à un besoin ponctuel (notoriété avant SEO) puis… leur avenir s’est construit sans moi… mais ceux-là, n’étaient pas les pires… je regrette simplement de ne pas avoir pu franchir le cap des débuts avec ces collaborateurs brillants, mais… ils ont leurs raisons et, n’oublions pas… business is business !

Image libre de droit, source Pixabay

J’ai également participé à un des événements phares du SEO, j’ai écouté avec intérêt les conférences, échangé avec d’autres personnes présentes, je me suis amusée, je me sentais finalement pas si mal dans ce nouveau monde, avec, quand même, toujours, un arrière-goût de « trop de blabla« , « trop d’incertitudes », « pas assez d’humanité », « pas assez de créativité« … pour moi, en tous cas.

Il y a eu des moments d’espérance, une collaboration naissante, des articles profitant de la notoriété de mon hôte, des tentatives de « partage » de clients… tout cela a avorté avec le temps car, quitte à travailler pour rien, autant le faire pour soi.

C’est d’ailleurs de cette réflexion qu’est née l’idée d’envoyer balader ce SEO, Moi, Bête, et Méchant avec tous les gentils minions servant sa cause et, de revenir à mon support originel, à savoir, le papier.

Image libre de droit, source Pixabay

Je vous vois venir, et vous avez malheureusement ou sûrement raison… je ne ferai rien de mon fanzine d’une vingtaine de pages sans faire d’Inbound Marketing (je m’y tente déjà), de SEO (nous verrons bien…), de Community Management (En cours)…

Et bien, tant pis ! L’objectif du premier numéro est de rembourser l’impression pour financer la suivante. Chaque chose en son temps. Je n’ai aucun budget, je suis seule à mener la barque avec les participants qui adhèrent à mon projet, je ne ferai sûrement pas tout de suite (voire pas, voir peu) de bénéfices mais, le produit que je propose à 3€ (pour le moment) est un bel objet dont je suis fière et ça, ça n’a pas de prix.

Isolée dans ma campagne, peut-être n’ai-je pas croisé le chemin de ceux qui auraient pu me donner une vision du référencement (et de la volonté de Google) plus jolie à imaginer et à suivre. Il n’est jamais trop tard, je ne serai pas la première à me remarier après un divorce !

Je n’ai voulu attaquer personne nominativement et, j’espère que ceux ou celles qui se sentiront visé(e)s pourront comprendre que, tiraillée entre mes aspirations journalistiques et artistiques, je n’ai pas su, pu ou souhaité trouver ma place dans votre cocon.

Je vous salue à tous et, vous souhaite une belle continuation.

Pour soutenir mon projet Print, le fanzine Transverse

De la promesse à la séparation

Je ne sais pas pour vous, mais de mon côté, je n’en finis pas de me débattre avec une crise existentielle, dont la place à prendre ou à laisser, sur la toile, en tant que rédactrice Web, occupe un large espace. J’estime avoir fait tout possible pour conquérir d’éventuels clients, y compris travailler à moindre prix en appliquant les règles inhérentes à la qualité rédactionnelle. Résultat : j’ai payé de ma santé et ne cesse de remettre en questions mes capacité à pouvoir travailler dans ce « petit milieu ». Il ne me reste plus qu’à reprendre mes bons vieux CV, mes listes d’annonces et à repenser mon avenir. À presque 40 ans, je ne suis encore embarquée dans au un navire, indépendante certes, mais isolée et en perte de confiance. Petit bilan de mes années d’auto-entreprise, en attendant que je me trouve un nouveau cap à viser…

Les années Domosource et Pim-Bim

1er cadre de collaboration

Habitat
Mes débuts sur le Web avec un site dédié à la maison, Pixabay, Libre de droit

WebSi François Blum ne m’avait jamais appelé pour me convaincre de travailler pour lui sous la condition de créer mon entreprise, je ne sais pas si j’aurais franchi le pas. Toujours est-il, que quelques semaines après notre premier entretien, il me proposait un cadre de collaboration pour alimenter son nouveau site « Domosource », avec 5 rubriques dédiées à l’habitat (Maison – Déco- Jardin – Pratique – Conseils).

C’était la « belle époque » : j’écrivais, j’illustrais, je collaborais avec une graphiste et… j’étais payée ! Malheureusement, après quelques mois, les annonceurs n’étaient pas au rendez-vous et je devais ralentir la cadence. En parallèle, j’avais deux autres clients, pour des missions plus rébarbatives (du SEO pur), mais qui payaient aussi.

Une collaboration prometteuse

J’ai traversé un premier désert durant l’été 2013 mais, ayant suivi de près la campagne de recrutement de Pim-Bim, je parviens à entrer en contact avec les fondateurs et à sceller notre confiance mutuelle autour de commandes d’articles sur le thème de l’Inbound Marketing.

Je prends beaucoup de plaisir avec cette nouvelle collaboration mais la naissance de mon fils vient bouleverser la suite de l’aventure. Je ne travaille plus pour Pim-Bim, et traverse une nouvelle traversée sans grand espoir de raccrocher les wagons, avec qui que ce soit.

Les deux pieds dans le SEO

L’effet papillon ou le cocon sémantique

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Les cocons sémantiques : ces sites dans les sites, Pixabay Libre de droit

L’été dernier, je fais mes débuts dans le « cocon sémantique » et mets alors les deux pieds dans le SEO, que je n’avais jusqu’alors qu’effleuré : balisage sémantique, metadescription, title, gras… je me colle au jeu de l’écriture mi- humaine, mi-robotisée et je me pique par là-même aux contraintes multiples et aux prix ultra-cheap.

Non satisfaite de mon sort, je fais une rencontre virtuelle, encore une fois prometteuse, et laisse derrière moi les tyrans du cocon en espérant que l’effet papillon m’amène à de nouvelles opportunités. Je suis lue davantage grâce à la notoriété de mon hôtesse en matière de référencement, mais je ne parviens toujours pas à satisfaire ses clients, pourtant toujours aussi peu reconnaissants des exigences de qualité.

La chenille qui se mord la queue

Rien n’y fait : travailler dur, croire en soi, lire les autres, séduire… je n’en peux plus de constater qu’il n’y a pas plus de place pour moi sur le Web qu’ailleurs. Je serpente, je louvoie, j’esquive mais je dois bien avouer que mon compte en banques a soif ! Je ne peux pas continuer à croire en un potentiel dont personne n’est prêt à payer pour le voir éclore.

L’avenir est gris encore, comme il l’a souvent été le long de mon parcours. Je ne crois pas aux bilans de compétences, aux reconversions impromptues, ni à la chance du hasard, surtout pas lorsque si peu de visiteurs se perdent sur mon site.

Et vous, où en êtes-vous de vos convictions ? La promesse du Web a-t-elle été tenue ? Avez-vous un plan B ? Moi, j’y réfléchis très activement…